1. Conferencias y debates
Ciclo "Diálogos sobre sociedades abiertas". 6. Feminismos, religión y laicidad (ENG/ESP)
Publicado el 04 de abril 2019
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El hirak argelino: un estudio de caso sobre la movilización de la protesta en el Magreb
El martes 2 de marzo ofrecemos la novena conferencia del programa Aula Árabe Universitaria 2, a cargo de la Directora de Investigación del CNRS, Karima Dirèche-Slimani. El concepto de hirak agrupa diversas manifestaciones de la región árabe que son distintas entre ellas. La génesis de este término se remonta al año 2007, en Yemen, donde surgió el Hirak al-Janoubi (Movimiento del Sur) que hace referencia a una agrupación política de corte separatista. En el año 2016 apareció de nuevo el término hirak, pero esta vez en el Rif marroquí, donde la protesta se caracterizó por su fuerte regionalismo y por su base social. Por su parte, la movilización ciudadana iniciada en Argelia el 22 de febrero de 2019 también desarrolla rasgos propios, ya que el hirak argelino se define como un movimiento nacional, pacífico y popular con potentes reivindicaciones políticas. Se debe tener presente que la palabra nace de la raíz árabe del verbo trilítero H-R-K (حرك) y significa “movimiento”. Una innovación lingüística que demuestra cómo vive, cambia y se manifiesta la lengua y el mundo árabe. En esta conferencia, la historiadora Karima Dirèche-Slimani abordará el caso del hirak argelino desmantelando las representaciones de una nación despolitizada y atrapada en el trauma de los años 90 y así poder entender mejor la dinámica de cambios que han construido, desde abajo y en silencio, los múltiples componentes de la sociedad argelina. Casa Árabe organiza esta conferencia en colaboración con el Máster de Política Internacional: Estudios Sectoriales y de Área de la Universidad Complutense de Madrid (UCM). Se trata de la novena sesión del programa Aula Árabe Universitaria 2 (AAU2). Presentará la sesión Rafael Bustos, profesor de Relaciones Internacionales de la Universidad Complutense de Madrid (UCM) y coordinador de dicho máster y moderará Karim Hauser, coordinador de Relaciones Internacionales de Casa Árabe. Karima Dirèche-Slimani es historiadora, directora de investigación en el CNRS y especialista en historia contemporánea del Magreb. Es autora de tres libros y más de cuarenta artículos científicos. También ha editado cuatro libros colectivos. Especialista en el Magreb contemporáneo, sus trabajos abarcan temas sociohistóricos y el análisis crítico de las historiografías magrebíes desde una perspectiva colonial y poscolonial. Sus líneas de trabajo abarcan la cuestión de las minorías religiosas en el Magreb y sus controversias políticas y religiosas; la cuestión de la identidad bereber en su relación con la política desde la independencia; la cuestión de los relatos históricos nacionales y su impugnación a la luz de los movimientos islamistas y bereberes. Sus enfoques metodológicos combinan las prácticas de la historia oral con las investigaciones antropológicas en un análisis sociopolítico. El último libro que ha editado se titula L'Algérie au présent. Entre Résistance et changements publicado por Editions IRMC/Karthala, París, mayo de 2019. Más info: https://www.casaarabe.es/eventos-arabes/show/el-hirak-argelino-un-estudio-de-caso-sobre-la-movilizacion-de-la-protesta-en-el-magrebPublicado el 24 de febrero 2021 -
Tunisie: le long chemin de la transition
Le lundi 22 février, nous vous proposons sur notre chaîne YouTube une nouvelle session du cycle de conférences "Le peuple veut ..." dédié à la Tunisie. La Tunisie est un exemple clair de transition démocratique réussie dans le monde arabe. Bien qu'il soit confronté à plusieurs défis politiques et socio-économiques, la vérité est que ce pays d'Afrique du Nord a réussi à sortir de l'autoritarisme. Preuve en est que les élections ont lieu régulièrement, le parlement est actif, il est composé de formations idéologiquement différentes et la population jouit des libertés fondamentales de toute démocratie. Le revers de la médaille est une situation de profonde instabilité gouvernementale: l'existence de désaccords entre le président et le Premier ministre, ainsi qu'entre l'exécutif et le chef du pouvoir législatif. Pendant ce temps, dans les rues, les manifestations populaires se poursuivent, se manifestant au niveau national contre la classe politique et la situation socio-économique défavorable. Dans le cadre de la série de conférences «Le peuple veut ...» autour du dixième anniversaire des soi-disant «Printemps arabes», Casa Árabe en collaboration avec Stractegia aborde le cas de la Tunisie avec trois spécialistes du pays: Farah Hached, juriste, fondateur du "Laboratoire Démocratique", Huda Mzioudet, journaliste indépendante et chercheuse, et Tarek Kahlaoui, politologue, professeur à la Mediterranean School of Business et chercheur à Stractegia. Présenté par Karim Hauser, coordinateur des Relations Internationales à Casa Árabe. Modérateur: Barah Mikaïl, directeur de Stractegia. Farah Hached est avocate, vice-présidente de l'Université Mahmoud el-Materi, présidente du think-tank tunisien "Labo 'Démocratique" et auteur du livre "Révolution tunisienne et défis sécuritaires". Tarek Kahlaoui a terminé son doctorat à l'Université de Pennsylvanie, est un activiste politique et analyste. De 2012 à 2014, il a dirigé le groupe de réflexion «Institut tunisien d'études stratégiques» lié à la présidence du pays, et il écrit fréquemment sur la politique tunisienne et les questions de sécurité. Huda Mzioudet est chercheuse universitaire et étudiante en Sciences Politiques et Relations Internationales à l'Université de Toronto au Canada.Publicado el 18 de febrero 2021 -
Vers l'autonomisation économique des femmes en Égypte, en Jordanie, au Maroc et en Tunisie
Le mercredi 24 février, nous vous proposons sur notre chaîne YouTube la présentation du rapport publié en novembre par l'OCDE sur les derniers changements juridiques produits dans ces pays pour faire tomber les barrières et faciliter le pouvoir économique des femmes. Si les femmes étaient autorisées à jouer le même rôle que les hommes sur le marché du travail, on estime que le PIB des pays du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord pourrait être augmenté de 2,7 billions de dollars d'ici 2025. Compte tenu de la crise économique générée par la pandémie, et le recul qu'elle a engendré dans l'écart existant entre les sexes en termes de salaires, de compétences et de leadership, il est plus important que jamais de lever les barrières qui limitent encore la participation des femmes à l'économie pour matérialiser cet horizon. Malgré les défis auxquels certains pays doivent encore faire face pour garantir cet accès égal des femmes aux opportunités économiques, le dernier rapport de l'OCDE, publié en novembre, sous le titre «Changer les lois et éliminer les obstacles à l'autonomisation économique des femmes en Égypte , Jordanie, Maroc et Tunisie »(en anglais, arabe et français), met en évidence certaines des réformes législatives, politiques et institutionnelles introduites en Égypte, en Jordanie, au Maroc et en Tunisie pour soutenir l'autonomisation économique des femmes. Bien que des progrès soient en cours et que les facteurs de succès qui ont contribué à sécuriser les réformes soient identifiés, le rapport souligne qu'il est possible de les alimenter davantage grâce à des actions politiques ciblées, inclusives et coordonnées. À cet égard, il offre des exemples pratiques et des outils aux décideurs pour transformer les politiques en actions efficaces pour l'autonomisation économique des femmes. Pour présenter leurs résultats et propositions d'action, nous aurons la participation de Carlos Conde, directeur de la Division des relations mondiales Moyen-Orient et Afrique (OCDE), Soukaina Bouraoui, directrice exécutive du Centre des femmes arabes pour la formation et la recherche (CAWTAR) , Charlotte Goemans, analyste des politiques sur le genre et le développement à l'OCDE et l'un des principaux auteurs du rapport. L'événement sera présenté par Olivia Orozco, coordinatrice de Formation et Économie de Casa Árabe. Le rapport, publié le 10 novembre 2020, sur la base d'une précédente étude réalisée en 2017, est le résultat d'une collaboration entre l'OCDE, le CAWTAR et l'OIT et a été soutenu par de nombreux experts locaux, régionaux et internationaux. La présentation, organisée par Casa Árabe et l'OCDE, peut être suivie en direct le jeudi 24 février à 18h00 sur nos chaînes Twitter et YouTube. #debatescasaarabePublicado el 18 de febrero 2021 -
Túnez: el largo camino de la transición
El lunes 22 de febrero, ofrecemos en una nueva sesión del ciclo de conferencias "El pueblo quiere..." dedicada a Túnez. Túnez es un claro ejemplo de éxito de una transición democrática en el mundo árabe. Si bien enfrenta varios desafíos de tipo político y socioeconómico, lo cierto es que este país norafricano ha logrado dejar atrás al autoritarismo. Prueba de ello es que se celebran elecciones de manera regular, el parlamento es activo, está compuesto por formaciones ideológicamente diferentes y la población goza de las libertades básicas de cualquier democracia. La otra cara de la moneda consiste en una situación de profunda inestabilidad gubernamental: la existencia de desacuerdos entre el presidente y el primer ministro, al igual que entre el ejecutivo y el jefe del poder legislativo. Mientras tanto, en las calles continúan las protestas populares que se manifiestan a nivel nacional en contra de la clase política y de la situación socioeconómica adversa. En el marco del ciclo de charlas "El pueblo quiere..." en torno al décimo aniversario de las llamadas “primaveras árabes”, Casa Árabe en colaboración con Stractegia aborda el caso de Túnez con tres especialistas del país: Farah Hached, jurista, fundadora del “Laboratorio democrático”, Huda Mzioudet, periodista freelance e investigadora, y Tarek Kahlaoui, politólogo, profesor en la Mediterranean School of Business e investigador en Stractegia. Presenta Karim Hauser, coordinador de Relaciones Internacionales de Casa Árabe. Modera: Barah Mikaïl, director de Stractegia. Más información: https://www.casaarabe.es/eventos-arabes/show/ciclo-el-pueblo-quiere#14961Publicado el 15 de febrero 2021 -
Hacia el empoderamiento económico de las mujeres en Egipto, Jordania, Marruecos y Túnez
El miércoles 24 de febrero ofrecemos la presentación del informe publicado en noviembre por la OCDE sobre los últimos cambios legales producidos en estos países para romper las barreras y facilitar el poder económico de las mujeres. Si se permitiera que las mujeres jugaran un papel idéntico a los hombres en el mercado laboral, se estima que se podría aumentar el PIB de los países de Oriente Medio y el Norte de África en 2,7 billones de dólares para 2025. Teniendo en cuenta la crisis económica generada por la pandemia, y el retroceso que ha generado en la brecha de género ya existente en materia de salarios, competencias y liderazgo, resulta más importante que nunca levantar las barreras que todavía limitan la participación de las mujeres en la economía para materializar este horizonte. Pese a los desafíos que deben afrontar todavía algunos países para garantizar esta igualdad de acceso de las mujeres a las oportunidades económicas, el último informe de la OCDE, publicado en noviembre, bajo el título “Cambiar las leyes y romper las barreras para el empoderamiento económico de las mujeres en Egipto, Jordania, Marruecos y Túnez” (en inglés, árabe y francés), destaca algunas de las reformas legislativas, políticas e institucionales introducidas en Egipto, Jordania, Marruecos y Túnez en apoyo del empoderamiento económico de las mujeres. Aunque el progreso está en marcha y se identifican los factores de éxito que han ayudado a afianzar las reformas, el informe destaca que puede ser alimentado aún más a través de acciones políticas específicas, inclusivas y coordinadas. Ofrece, al respecto, ejemplos prácticos y herramientas para que los responsables políticos puedan transformar las políticas en acciones efectivas para el empoderamiento económico de las mujeres. Para presentar sus resultados y propuestas de acción, contaremos con la participación de Carlos Conde, director de la División de Oriente Medio y África Relaciones Globales (OCDE), Soukaina Bouraoui, directora ejecutiva del Centro de Mujeres Árabes para la Formación y la Investigación (CAWTAR), Charlotte Goemans, analista política en Género y Desarrollo de la OCDE y una de las principales autoras del informe. Presentará el acto, por parte de Casa Árabe, Olivia Orozco, coordinadora de Formación y Economía. El informe, publicado el 10 de noviembre de 2020, sobre la base de un estudio previo realizado en 2017, es resultado de la colaboración entre la OCDE, CAWTAR y la OIT y ha contado con el apoyo de numerosos expertos locales, regionales e internacionales. La presentación, organizada por Casa Árabe y la OCDE, podrá seguirse en directo el jueves 24 de febrero a las 18:00 horas en nuestros canales en Twitter y Youtube. #debatescasaarabe Carlos Conde Carlos Conde es director de la División de Oriente Medio y Norte de África en la Secretaría de Relaciones Globales de la OCDE, desde donde lidera la implementación de la Iniciativa sobre Gobernanza e Inversión para el Desarrollo MENA-OECD. Esta iniciativa promueve el diálogo sobre políticas de gobernanza, inversiones y desarrollo del sector privado entre los países de MENA y de la OCDE. Antes de unirse a la OCDE en 2007, Conde fue profesor de Ciencia Política y Políticas Públicas en la Universidad de Granada, en España, puesto desde el que dirigió distintos proyectos de cooperación educativa, investigación y construcción de redes entre universidades europeas y árabes. Fue profesor visitante en la Universidad de Harvard (1995-96) y la Universidad de Al Akhawayn en Marruecos, donde dio clases entre 2001 y 2003. Posee un doctorado en Ciencia Política y Administración Pública por la Universidad Complutense de Madrid.Publicado el 15 de febrero 2021